vendredi 22 août 2008

LES REGIMES DE RECHERCHE

"De ce point de vue, le cadre conceptuel des régimes de recherche, selon l’historien et sociologue Terry Shinn, donne une alternative beaucoup plus intéressante 4. Il fait l’hypothèse que plusieurs régimes de recherche se sont succédé depuis la création de l’université moderne par Willhelm Von Humboldt au début du dix-neuvième siècle. On distingue les régimes de recherche, d’une part, par la manière dont les professeurs sélectionnent leurs axes de recherche et, d’autre part, par les marchés sur lesquels ils diffusent leurs productions. Les régimes de recherche permettent d’expliquer la production matérielle et intellectuelle des professeurs ; car ils les mettent en relation avec les formes d’organisations sociales, dont font partie, par exemple, les réseaux des professeurs mis en place pour échanger avec leur milieu."

Extrait d'un bilan de "Journée d’Étude du RESUP, Science Po, Paris le 9 Juin 2005", p.1
Le reste de l'article sur: www.resup.u-bordeaux2.fr/manifestations/journeesciencepoparis/communications/jfauger.pdf

Aurelia

La Recherche scientifique

Selon FRASCATI, il existe trois sortes de recherches :
*la recherche fondamentale, en vue de découvrir de nouvelles connaissances ;
*la recherche appliquée, dirigée vers un but pratique;
*la recherche de développement ou technologique basée sur l’application des connaissances par la fabrication de produits ou de nouveaux matériaux.
Elle évolue dans différents lieux, surtout en laboratoires privés ou publics. Ils sont regroupés au sein d’institutions plus larges et financés en grande partie par des fonds privés, sous différentes formes (à travers les salaires des personnels ; par projets ; par contrats, brevets…)
La recherche se concrétise sous diverses formes de connaissances (revues scientifiques ; ouvrages collectifs ; brevets ; machines et instruments) qui ont des retombées sur notre société
*technologiques : création de nouvelles machines…
*stratégiques et géostratégiques : certaines technologies sont mises en services contre des privilèges…
*sociétales : amélioration des conditions de travail…


Les chercheurs scientifiques, financés par l'État ou par des entreprises privées pour se consacrer à leurs travaux, dont le statut en tant que métier n’est reconnu que depuis XXe siècle, évoluent dans cette organisation. Ils sont confrontés à des questions éthiques dans la pratique même de leurs activités ainsi que dans leurs résultats.
D’abord sur les limites posées en terme de découvertes scientifiques . Jusqu’où peuvent ils expérimenter?Qui pose ces limites ?
Ensuite, le financement et le pilotage des recherches doivent leur permettre une certaine autonomie afin d’éviter des résultats implicites et dont toute la population ne pourrait bénéficier. La recherche n’est pas sans toucher des intérêts politiques ou commerciaux. Un certain équilibre doit donc exister entre pilotage extérieur et décisions des chercheurs. Pour cela les capitaux investis ne doivent pas être que privés. Quelle législation existe sur le pilotage et le financement des recherches en France et en Europe ?
Enfin, le mode de financement du travail, des chercheurs renvoie à l’évaluation des travaux, en terme de fiabilité scientifique ou non. L’erreur en recherche scientifique est essentielle à la production de connaissances mais la fraude est à but lucratif ou personnel. Où se situe la marge entre les deux ? Est-ce que la communauté scientifique ou les gouvernements en place sont dotés d’organes capables de discerner les duperies possibles ?

Sources: http://fr.wikipedia.org/wiki/Recherche

Aurelia

Questionnements sur la recherche scientifique

Les connaissances scientifiques proposent des modèles explicatifs provisoires, de la réalité. Provisoires car ils doivent êtres démontrés , expérimentés pour être considérés comme fiables, jusqu’à ce que de nouvelles informations les modifient. (cf Albert JACQUARD)
Ces connaissances sont crées, trouvées et acceptées comme fiables dans le cadre de recherches scientifiques. Comment s’organise la recherche scientifique ? Dans quels lieux se développe-t-elle ? Qui la finance ? Qui choisit les axes abordés ?Qui participe à l’évolution des connaissances ? Est-ce qu’il existe un cadre, une ou des instances qui vérifient continuellement la fiabilité des connaissances ? Si oui, qui décide de la constitution de cette dernière ?

Aurelia

jeudi 21 août 2008

Axe 1: Transmission des connaissances / Notion de Pouvoir:

-Comment sauvegarder les savoirs oraux ?

Depuis des siècles certains savoirs sont transmis par oral, ce sont des textes apris par coeur ou bien des enregistrements audio.Voici un paragraphe extrait d'un texte que j'ai trouvé sur un site parlant des corpus oraux, il représente ce que je pense à se sujet,
il est simple a comprendre et bien écrit je trouve.

"Comment conserver l’oral ? Quelle prise avoir sur ce patrimoine immatériel ? Le patrimoine répond en effet à une logique de
conservation et de mise en valeur, à laquelle la langue parlée, éphémère, invisible et diffuse, ne se prête guère. Ce sont donc les enregistrements qui vont devoir représenter l’interface entre la langue telle qu’elle est parlée, et son statut effectif de patrimoine.
Ils s’apparentent à des clichés instantanés de l’oral. C’est pourquoi les corpus oraux ont, ou doivent acquérir, le statut de
patrimoine immatériel. La conservation de ces documents sonores se révèle toutefois plus problématique que celle du patrimoine
matériel [...]. "


Si vous voulez l'intégralitée du texte c'est ici:
http://www.corpusdelaparole.culture.fr/spip.php?article10


Marjorie

mercredi 20 août 2008

Les Français et l'Europe



On a pu constaté que dans la grande majorité les textes sur le thème de l'Europe en 2020 proposés par les membres du panel français, sont pessimistes sur l'avenir de l'Europe. ces textes reflètent bien le sentiment général des français, qui n'ont plus de grandes convictions pour l'Europe. Les français sont depuis quelques années déjà dans l'incertitude, Où va l'Europe? Quel est son rôle réel ? Qu'apporte-t-elle vraiment à ses citoyens? Bien qu'on admette que sans L'Union Européenne, la France ne serait surement plus la puissance qu'elle est à l'heure actuelle. Cependant réémergent des dicours neo-nationalistes qu'ont auraient pu croire voir disparâître à jamaisd à près la formation de l'U.E. Il semblerait que la France veut faire partie de l'Europe tout en y mettant une réticence et voulant rester à l'écart. Il est vrai qu'il est difficile de se sentir européen avant de se sentir français car nous avons un pass, une culture très riches et très imprégnés dans nos coeurs. De plus, il faut souligner la méconnaissance des pays européens qui ne nous sont pas frontalier. Mais nous ne sommes plus que Français, nous sommes Européens, c'est-à dire que nous appartenons à une nation continentale riche de 500 millions d'habitants.

Or, la crétion de l'Europe est une idée française et aujourd'hui lors de la présidence de la France à la tête de l'union il est fondammentale de réafirmer que la France n'est pas une nation europhobe mais un réel élément moteur de celle-ci.


Olivia

jeudi 14 août 2008

Ambassade de France en Roumanie

Débats-rencontres « Les jeunes dans la construction d'une société européenne de la connaissance » (juin à novembre 2008 à Ploieşti)

http://www.ambafrance-ro.org/

L’Alliance française de Ploieşti a été retenue comme opérateur national pour la Roumanie dans le projet « les Jeunes dans la construction d’uns société européenne de la connaissance », lancé par la Centre national de la recherche scientifique (CNRS, Paris), afin de responsabiliser les jeunes citoyens européens sur ce domaine.
Un panel de jeunes Roumains âgés de 15 à 20 ans a ainsi été sélectionné pour participer à des formations et des débats d’idées autour de chercheurs nationaux sur les thèmes de la société de la connaissance, la démocratie participative, le développement durable et le rôle des technologies de l’information et de la communication dans l’enseignement et l’éducation. Les participants roumains à ce projets seront invités à une rencontre internationale à Poitiers (Région Poitou-Charentes, France) en octobre 2008 et rédigeront avec des jeunes issus d’autres pays européens vingt recommandations qui seront adressées à la Commission européenne ainsi qu’aux gouvernements des Etats-membres.Organisateurs : Alliance française de PloieştiPartenaires : Ambassade de France en Roumanie, Mairie de la ville de Ploieşti, Inspection Académique de Prahova, Musée Départemental des Sciences Naturelles de Prahova, Collège National « I.L. Caragiale » Ploieşti, Collège National « Mihai Viteazul » Ploieşti, Fondation des Hommes de Science, Apa Nova Ploieşti – filiale de Veolia Eau, Veolia Propreté – Services pour l’environnement

dimanche 10 août 2008

Une connaissance peut-elle être vérité absolue? Marion

Une connaissance peut-elle être vérité absolue?

Une connaissance est considérée comme vraie lorsqu'elle est découverte puis apprise, pourtant les connaissances évoluent et une connaissance alors considérée vraie devient fausse. Dans l'Histoire un bon nombre de connaissances considérées comme vraies ont évoluées pour devenir fausse comme la forme de la Terre. En effet, l'affirmation "la Terre est plate" était une vérité jusqu'au jour où l'on a découvert que la Terre était ronde. Aujourd'hui grâce aux moyens techniques qui ont eux aussi évolués on sait que la Terre est ronde et légèrement aplatie aux pôles. Nous pouvons donc considérer cette dernière affirmation comme une vérité. Mais pouvons nous vraiment la qualifier d'absolue? Cette vérité pourrait-elle une nouvelle fois changer avec des moyens encore plus sophistiqués dans quelques années? Nous n'en sommes pas à l'abri. C'est pourquoi je pense qu'une connaissance ne peut être vérité absoluepuisqu'une conaissance est vouée à évoluer.


A knowledge can it be an absolute truth?

A knowledge is considered true when it's discover then learn, however knowledges advance and a knowledge at the time considered true become wrong. In the History, a great number of knowledges considered true became wrong like the shape of the Earth. In fact the statement "The Earth is flat" was a truth until the day we discovered the Earth is round. Today, thanks to the technology means which advance too we know that the Earth is round and flattened to the pole. So we can considered this last statement like a truth. But can we really qualified it absolute? This truth could it be a new time change with means more sophisticated in some years? We are not sheltered from this. That's why I think a knowledge can not be absolute because a knowledge is doomed to advance.

Marion

lundi 4 août 2008

Pays du Nord : où allons-nous ?

http://fr.youtube.com/watch?v=tAAdj8_PqDc

Sur ce lien, un reportage disponible en intégralité sur YouTube, qui traduit à sa manière l'inégalité entre le Nord et le Sud.
Des hommes riches décident tout simplement que d'autres mourront. Les futurs citoyens que nous sommes ne pouvons tout simplement pas accepter cela, il faut trouver des recommandations concrète comme la mise en place de plafond pour les ressources dont ces pays ont besoin en priorité (le blé par exemple a connu une période de forte inflation).
Ainsi, nous pourrons, si l'on suit nos recommandations, enfin être des européens fiers et ayant contribué à part entière à la construction d'un monde meilleur.

PHILIPPE

Société de la connaissance OUI mais connaissons-nous tout ?

"Le camélia sur la mousse du temple,le violet des monts de Kyoto,une tasse de porcelaine bleue,cette éclosion de la beauté pure au coeur des passions éphémères, n'est-ce-pas ce à quoi nous aspirons tous? Et ce que nous autres Civilisations de l'Ouest, ne savons atteindre ?"

L'élégance du hérisson, Muriel Barbery, Gallimard


C'est vrai. Nous sommes tellement inquiet de la préservation de notre petit confort... Mais dans le fond n'oublions-nous pas l'essentiel. Le langage universel de la nature n'est-ce pas le seul moyens d'améliorer la communication entre les individus. En tant qu'Européens nous devons nous montrer soudés mais pas aux dépents de la culture, des valeurs des pays du Sud. Pour réduire les conflits économiques et religieux il faut revenir à leur source : l'incapacité pour les Hommes de vivre sans envier, sans se faire la guerre. A partir de ce constat, il est possible de trouver un terrain d'entente et d'envisager une paix durable.

Tant que nous n'ouvrirons pas les yeux, on ne pourra pas avancer.

Bâtir une société de la connaissance responsable, citoyenne et respectueuse des autres est notre mission.


"L'Europe ne se fera pas d'un coup, ni dans une construction d'ensemble : elle se fera par des réalisations concrètes, créant d'abord une solidarité de fait"

Robert Schuman,Discours de l'horloge, 9 mai 1950
Une image alarmante : La Terre en pleine nuit
Les points lumineux nous présentent les endroits où l'on consomme le plus, encore un exemple flagrant d'une consommation sans limite et très égoïste des pays du Nord.


Philippe OLIVIER

samedi 2 août 2008

Axe 3 – Quelle économie de la connaissance ?

Axe 3 – Quelle économie de la connaissance ?
Lors du conseil européen de Lisbonne en 2000, l’Union Européenne s’est promis d’être l’économie de la connaissance la plus compétitive et plus dynamique du monde avant 2010. Pour cela ils veulent avoir une croissance de l’économie stable et durable accompagné d’une amélioration quantitative et qualitative de l’emploi. Pour effectué leur démarche ils ont mis au point une stratégie ; Tout d’abord préparer la transition vers une société et une économie fondé sur la connaissance, ensuite moderniser le modèle social européen dont les ressources humaine, enfin entretenir les conditions d’une évolution saine de l’économie.

Mais huit années sont passées et on peut voir que cela ne s’est pas entièrement appliqué, car les grands chercheurs cherchent de nouvelles techniques et méthode pour réaliser les produits que nous consommons. Mais la plus part du temps on ne sait pas vraiment le parcourt qu’a suivie celui-ci. Sinon dès qu’une nouvelle technique est trouvée elle est brevetée pour ne pas être copié. Il faudrait que chacun est le droit de faire se qu’il veut sans empiéter sur le travail d’autrui car chacun a sa liberté de faire et de pensé. Il faut juste éviter que les escrocs s’en en part. Maintenant on a pu voir que dans tous les commerces les enseignent vendent des sous-marques surtout dans le domaine de l’alimentaire. Mais peut-on faire confiance à ses sous-marques qui peuvent correspondre à sous-qualité. Les gens sont près à faire n’importe quoi pour augmenter la concurrence et casser les prix. Certaines entreprises savent qu’elles vendent des produits de mauvaise qualité et continuent pour autant à les vendent. Elles préfèrent favoriser le profit au désavantage de la qualité et de la sécurité alimentaire, se qui peut entrainer un risque de contamination alimentaire. Est-il bon de consommer les sous-marques des entreprises ? Elles ont un prix favorable mais une moins bonne qualité. Toutes les personnes devraient êtres tenus u courant de ceux qu’on mange et consommes et les effets que cella peut avoir sur notre santé. Mais maintenant presque toutes les notices sont écrites en anglais ou dans un langage scientifique donc toutes les jeunes ; les personnes âgées et les personnes a défaillance ne savent pas exactement ceux qu’elles consomment.
Toutes personnes doit avoir accès à la même connaissance sur tous les produits ; Il faut donc créer un savoir collectif. Un scientifique a même dit qu’après avoir fait l’Europe il faut faire les européens.

Axis 3 - What economy of the knowledge?
During the European council of Lisbon in 2000, the European Union meant to be the economy of the most competitive more dynamic and knowledge of the world before 2010. For it they want to have a growth of the stable and long-lasting economy accompanied with a quantitative and qualitative improvement of the employment. For made their step they finalize a strategy; First of all prepare the transition towards a company and an economy based on the knowledge, then modernize the European social model among which the resources human, finally to maintain the conditions of a healthy evolution of the economy.
But eight years are spent and we can see that it did not completely apply, because the big researchers look for new techniques and for method to realize the products which we consume. But most part of time we do not really know crossed it that followed this one. Otherwise as soon as a new technique is found it is patented not to be copied. Each would have to be the right to make that he wants without encroaching on the work of others because each has his freedom to make and of thought. It is just necessary to avoid that the swindlers leaves it there. Now we were able to see that in all the businesses teach them sell sub-brands especially in the field of the food. But we can rely on his sub-brands which can correspond to sub-quality. People are near to make anything to increase the competition and slash prices. Certain companies know that they sell poor quality products and continue for all that in sell them. They prefer to facilitate the profit in the disadvantage of the quality and the food safety, which can entrained a risk of food contagion. Is it good to consume the sub-brands of companies? They have a favorable pricebut a less good quality. All the persons should hold beings u runningfrom those whom we eat and consume and the effects which cella can have on our health. But maintaining almost all the notes are written in English or in a scientific language thus all the young people; the old persons and the persons has failure do not know exactly those whom they consume.
Every persons has to have access to the same knowledge on all the products; it is thus necessary to create a collective knowledge. A scientist even said that having made Europe it is necessary to make the European.
Gourmelon Yohann

vendredi 1 août 2008

Culture scientifique et technique

Pour préparer la visite de "L'Arche de Sciences" pendant le séjour d'août

Utilisez le lien :
http://cst.univ-rennes1.fr/themes/lieuxCulture/Les+collections+d%27instruments+de+physique/

Dominique Bernard, physicien, conservateur de la collection d'instruments de physique et vice-président de la commission de culture scientifique et technique de l'Université de Rennes1

Eric Communier, Structure et Propriétés de la Matière, Sciences chimiques de Rennes1

A la découverte de la “culture scientifique”

Michel Vancassel, Rennes, janvier 2006
ancien chercheur CNRS en éthologie à l'Université de Rennes 1

Utilisez le lien
http://cst.univ-rennes1.fr/digitalAssets/13041_CST_Vancassel.pdf


"L'éthologie constitue un lieu de convergence de diverses disciplines : généticiens, physiologistes, psychologues, etc., contribuent, chacun à leur manière, à comprendre le comment et le pourquoi des comportements. L'éthologie est prête à se servir de toutes ces disciplines, depuis l'embryologie jusqu'à l'ethnologie, pour atteindre son objectif : la recherche des schèmes comportementaux universels interspécifiques."
(La recherche en éthologie. Jean-Pierre Desportes et Assomption Vloebergh. Paris, Seuil, 1979, p. 7)